La  couverture d’hiver  pour cheval est disponible en différents poids et modèles,  mais quelles sont les couvertures les plus adaptées à notre cheval ?

Le poids de la couverture fait référence à la quantité de rembourrage interne et comme nous, chaque cheval a une perception différente du froid.

En attendant, nous devons considérer comment notre cheval réagit habituellement à différentes températures, avant de choisir la meilleure couverture à acheter. Certains modèles disposent également d’  un col amovible , ou attaché à la couverture, pour mieux protéger les chevaux les plus froids ou convalescents, ou tous ceux qui affrontent un climat plus rude que d’habitude ou en polaire, qui sont très chaudes, à utiliser directement au contact avec le corps du cheval en superposant une autre couverture, pour plus de confort lors des gelées hivernales.

Le rembourrage des couvertures d’hiver pour le cheval

Couverture d’hiver légère

Les  couvertures légères de la boîte  peuvent contenir jusqu’à 150 grammes de rembourrage. Les couvertures d’enclos sont utilisées pour  garder notre cheval propre et sec  à l’extérieur, et sont une excellente solution pour les printemps pluvieux, les journées d’automne ou les nuits d’été plus fraîches. La plupart des  chevaux non rasés  resteront parfaitement au chaud avec une couverture légère. Ce type de couverture a un revêtement extérieur robuste, résistant à la déchirure et hydrofuge, généralement en polyester, avec une doublure intérieure en coton.

Couverture d’hiver de poids moyen

Les couvertures de poids moyen ont tendance à avoir un rembourrage allant de 100 à 250 grammes. Pour de nombreux chevaux, c’est la couverture parfaite pour se sentir au sec et décontracté pendant les mois d’hiver.

Couverture d’hiver lourde

Toutes les couvertures avec plus de 300 grammes de rembourrage sont dites lourdes et sont idéales pour tous les  chevaux tondus  et pour d’autres aussi, lorsque les températures deviennent particulièrement froides. Elles sont en effet considérées à toutes fins utiles comme des  couettes  permettant à votre cheval d’affronter les rigueurs de l’hiver avec un maximum de confort.Elles existent aussi bien en paddock et box qu’avec ou sans encolure.

Pont inférieur thermique

Idéal à utiliser comme nos t-shirts thermiques, pour maintenir le corps de notre cheval à une température constante et, grâce au matériau extérieur antidérapant, garantir que la couverture que nous allons mettre dessus ne glisse pas en arrière, créant une pression sur les épaules et sur le garrot de notre cheval.

Mesurer la couverture de votre cheval est vraiment simple ! avec un mètre ruban on prend la mesure en cm du centre du garrot jusqu’à la jonction de la queue. Les mesures des couvertures peuvent être indiquées aussi bien en cm qu’en lettres (S, M, L, Xl etc…) Ci-dessous vous trouverez quelle mesure en cm correspond à la lettre. PS Si par contre vous avez un cheval de race Quarter, il existe des couvertures spécifiques sur mesure avec une colle plus adaptée pour suivre sa morphologie.

Taille S -> Mesure en cm : 125 -> Mesure garrot-queue : 105cm

Taille M -> Mesure en cm : 135 -> Mesure garrot-queue : 115cm

Taille L -> Mesure en cm : 145 -> Mesure garrot-queue : 125cm

Taille XL -> Mesure en cm : 155 -> Mesure garrot-queue : 135cm

Taille XXL -> Mesure en cm : 165 -> Mesure garrot-queue : 145cm

Le toilettage quotidien sert à éliminer les incrustations de sueur après le travail, notamment au niveau de la zone de la selle et des sangles de sangle, les résidus de boue ou de sable, notamment dans les zones sensibles du ministère et du pied, qui pourraient se transformer en écorchures désagréables, dites faiblesses. .

De plus, sous le pelage du cheval, donc sous la peau, courent les muscles dits « du poil » que le cheval utilise habituellement par exemple pour chasser les mouches avec une sorte de vibration du pelage, bien visible à l’œil nu. En effectuant les opérations de toilettage quotidiennes, nous effectuons également un massage bénéfique sur le manteau et les muscles sous-jacents, stimulant la circulation des vaisseaux sanguins et réchauffant les muscles.

Il ne faut absolument pas négliger le nettoyage des pieds ; nous devons régulièrement décharger les sabots des résidus de litière, de terre et de sable, en effectuant l’opération au moins deux fois par jour et en tout cas avant et après le travail. En plus de garder le pied du cheval en bonne santé, c’est un moyen de vérifier qu’il n’y a pas de cailloux, verre ou autres corps étrangers coincés entre le clou et le fer et que les tissus du pied ne sont pas trop mous ou trop secs.

Hygiène

Le climat chaud et humide des saisons estivales et la présence normale d’agents pathogènes dans l’environnement stable est un mélange qui doit être maintenu sous contrôle car il offre le terrain idéal pour le développement de microbes et de champignons qui peuvent affecter notre cheval, peut-être dans un instant avec le temps, dont l’organisme, pour les raisons les plus diverses, a abaissé ses défenses immunitaires. Dans la plupart des cas, ces agressions invisibles se produisent à l’extérieur et affectent le pelage et la peau du cheval, comme dans le cas des mycoses, mais elles sont aussi contagieuses et peuvent se propager comme une traînée de poudre. Une bonne gestion des matériaux stables est le moyen le plus efficace pour éviter ce risque ainsi qu’une arme gagnante en termes de prévention.La première règle d’or pour l’hygiène dans l’écurie est que chaque cheval doit disposer d’un équipement très privatif.

L’échange de harnais, brosses, sangles ou selles mouillées est le premier vecteur de propagation des champignons et doit donc être évité. De plus, les outils de nettoyage ou les vêtements qui entrent en contact direct avec le pelage de notre ami et donc avec sa sueur, doivent être lavés fréquemment, éventuellement avec un détergent additionné d’une préparation antibactérienne. Pour les brosses, un lavage par mois est suffisant, tandis que les tapis de selle doivent être mis en machine après quelques utilisations au plus tard. Quant aux couvertures, puisqu’elles ne peuvent être lavées qu’à la fin de la saison, il sera indispensable de les mettre à l’air et de les sécher à l’envers. Une brosse vigoureuse avec un mouillage pointu dans une solution antibactérienne fera le reste. Rappelons que pour remédier à la promiscuité du matériel,le vrai secret est de toujours ranger le sien dans la sellerie après l’avoir utilisé.

La douche

Les douches méritent un petit chapitre à part. Il est important de dire que les douches ne doivent pas être trop fréquentes, car elles enlèvent ses barrières naturelles au cheval (avec une douche tout le sébum qui rend le pelage imperméable est éliminé). Cependant, il est utile d’en faire un, par exemple au printemps, lorsque la température commence à être douce et que le cheval perd son pelage d’hiver. Dans ce cas, il faut utiliser un produit spécifique, qui a donc un pH adapté au cheval. On procède donc en mouillant le cheval à l’eau tiède et en passant le shampoing adapté à l’éponge (n’exagérez pas les quantités !). Bien masser en évitant soigneusement de se mouiller la tête. Enfin, rincez toujours l’animal à l’eau tiède, jusqu’à ce que vous soyez sûr que toute la quantité de produit a été lavée.Essuyez doucement la tête avec une éponge, légèrement humide et uniquement avec de l’eau. Enfin, retirez l’eau du pelage à l’aide d’une attelle (évitez de passer par-dessus la tête et les jambes) et promenez le cheval au soleil jusqu’à ce qu’il soit complètement sec. Vous pouvez ensuite brosser et essuyer le pelage avec un chiffon en laine pour le rendre encore plus brillant.

Au lieu de cela, la douche peut être effectuée fréquemment (même une fois par jour, après le montage), surtout pendant la saison chaude. Ils sont très utiles pour soulager le cheval : ils rafraîchissent les membres, aident à la microcirculation et préviennent les gonflements. Dans ce cas, l’eau doit être froide : l’idéal serait de plonger les membres dans un ruisseau de 25-30 cm de profondeur pendant une quinzaine de minutes. En plus des jambes, la poitrine et le cou peuvent également être humides.

Par rapport aux humains, les chevaux ont une température corporelle plus élevée et sont donc plus résistants au froid. Cependant, cela varie en fonction de leurs habitudes et des conditions dans lesquelles ils ont grandi. Ce qui est sûr, c’est qu’ils consomment beaucoup plus de calories pour se protéger des basses températures.

Commençons par découvrir quand les chevaux commencent à avoir très froid, quand et comment intervenir pour les protéger. Entre 10° et 5° pour les chevaux c’est une température ambiante soutenable, ils se sentent « frais ». Entre 4° et -6° pour le cheval il commence à faire froid, alors qu’entre -7° et -17° c’est un « climat très froid pour eux ». Une température qui ne prend cependant pas en compte le degré d’humidité à prendre en considération pour les chevaux car elle altère la perception du froid.

Il existe différentes manières d’intervenir sur le cheval en période hivernale.

Alimentation du cheval en période hivernale

L’  alimentation du chevalil doit être plus riche et plus calorique. Ajouter progressivement au foin, une « purée », ou un mélange de céréales et de fruits ou d’herbes de montagne précuites ou séchées à placer dans l’eau chaude, notamment pour les chevaux plus âgés. Certains produits sur le marché sont spécifiques. Vous pouvez également utiliser divers suppléments et graines pour économiser de l’argent. Par exemple, la betterave, l’avoine, le son et le masi broyé. Il existe également de la farine, ou des composés de maïs, des grains d’orge moulus spécialement préparés pour les animaux de cour. Cependant, il est important de faire attention à la quantité qui doit être administrée progressivement. Pour les chevaux au box et peu actifs, il est préférable d’éviter une alimentation trop riche, afin de ne pas souffrir de pathologies comme la fourbure.Le cheval est également très sensible à l’estomac et peut facilement contracter des coliques. L’avoine est un aliment qui réchauffe les chevaux. La quantité doit être limitée. Le cheval pourrait être encore plus impétueux et neurile. Idem pour la luzerne. Il est important de commencer par de petites quantités puis d’augmenter légèrement.

Protéger le cheval du froid

Même les  couvertures  peuvent être appliquées sur les chevaux. Ils sont recommandés pour les chevaux plus âgés. Cependant, il faut faire attention en cas de pluie. La couverture se mouille facilement, même si elle est imperméabilisée. Fixez de préférence la couverture lorsque le cheval reste au box ou dispose d’un abri de nuit. Il existe différents types de couvertures allant des plus légères aux plus lourdes.
En règle générale, les chevaux qui vivent à l’extérieur portent un manteau d’hiver qui les protège du froid. Dans tous les cas, cela dépend aussi beaucoup des races de chevaux. Par exemple, les chevaux nordiques ont un sous-poil d’hiver plus épais qui est également imperméable et les protège de la pluie et de la neige.

Quand il s’agit d’un cheval tondu et vivant dans une écurie ou un box, il faut être très prudent en hiver. Même lorsque le cheval a fini de travailler, lorsque la selle est retirée, il est utile d’appliquer une couverture pour le protéger du choc dit froid.

Enfin, pour les chevaux vivant dans les paddocks, en extérieur, il est important de prévoir un  abri  qui les protège de la pluie et du vent. Un auvent fermé sur les côtés où ils sont le plus exposés aux rafales de vent.

Le cheval est un animal à l’esprit sauvage et sa fière allure est fascinante.

Dans le passé, l’homme ne l’utilisait que pour se déplacer à toute vitesse, puis pour des activités sportives telles que le polo ou l’art élégant de l’équitation.

Voici tous les faits intéressants sur les chevaux.

Le cheval est un animal complexe et, par certains aspects, il ressemble beaucoup à l’homme.

Les origines du cheval

Le cheval existe depuis des temps immémoriaux.

On dit que les origines de la race arabe remontent à 3000 ans avant Jésus-Christ. Ses traits n’ont pas beaucoup changé depuis lors, en fait, l’anatomie d’un cheval arabe est unique.

Il ne possède qu’une seule côte, deux vertèbres par rapport aux autres espèces de chevaux, un seul os lombaire.

Un cheval vit en moyenne jusqu’à 30 ans.

Évidemment, les records du monde ne manquent pas.

Le vieux Billy, en fait, a vécu 62 ans.

Quelques traits physiques distinctifs du cheval

Lorsque vous dites que vous avez la mémoire d’un cheval, vous ne faites certainement pas allusion à de mauvaises capacités de mémorisation, loin de là.

Les chevaux sont capables de mémoriser, de se souvenir de certains comportements ou des dangers rencontrés sur une période de 5 ans.

Ce passage a généralement lieu pendant la nuit.

Avez-vous déjà remarqué que les yeux du cheval sont grands ?

Son champ de vision est de 350 degrés.

Sa vision a un arc de 70 degrés et il peut voir des choses différentes de chaque œil.

Sa vision, cependant, est plate et, par conséquent, la perception des distances pour un cheval est pratiquement impossible. Son seul angle mort est situé sur son front.

Un autre fait intéressant concernant le cheval est que ses dents indiquent son âge.

Plus elles sont longues et orientées vers l’avant, plus le cheval est âgé.

Une vie dans une meute

Le cheval vit en troupeau et possède une structure sociale similaire à celle des humains. Il est donc très facile que des affinités se développent entre eux.

Des liens sains et équilibrés se créent toujours dans le groupe, qui perdurent tout au long de leur existence.

Les chevaux se nettoient mutuellement dans un geste de grande solidarité. Pour ce faire, ils se positionnent l’un devant l’autre.

De cette façon, ils peuvent se gratter mutuellement avec leurs dents et chasser les insectes qui pourraient bourdonner autour de leurs yeux.

La sensibilité du cheval

Le cheval est également capable de créer un grand sentiment avec les êtres humains.

Il peut percevoir les émotions, les besoins, les peurs et l’affection.

Cet animal, en effet, a aussi des sentiments et est capable de les manifester, évidemment, à sa manière.

Le cheval est également utilisé à des fins thérapeutiques pour les personnes souffrant de graves maladies invalidantes.

L’hippothérapie, en effet, est un remède très efficace qui permet d’accroître la maîtrise de soi, de développer la confiance en soi et d’acquérir un grand sens des responsabilités.

Enfin, une autre curiosité concernant les chevaux est que le fait d’être proche d’eux peut diminuer le risque de tomber dans des états de dépression.

La bouche du cheval est sensible et si on veut acheter un mors il faut commencer par choisir la bonne taille. Il faut aussi prendre en considération l’action que l’on recherche. Il existe de nombreux types de mors, à gros ou petit canons, des mors à effet spécifique, releveur, abaisseur, etc. Le mors a une action directe sur la bouche et c’est au cavalier d’avoir la main douce.

Quel type d’embouchure choisir ?

De nombreux cavaliers montent avec un mors cheval simple. Ce type d’embouchure est respectueux de la bouche du cheval et peut être utilisé par un cavalier débutant ou confirmé. Vous trouverez en ligne un large choix de mors de qualité pour cheval qui répondent à tous les besoins du couple cheval-cavalier. Si on regarde de plus près la bouche d’un cheval, on se rend compte que chaque bouche a ses particularités et c’est la raison pour laquelle il faut choisir le bon mors à commencer par la taille, qui doit être adaptée à la bouche du cheval. La taille d’un mors correspond à l’espace entre les deux anneaux du mors. Quand on achète un mors en ligne et que l’on hésite entre deux tailles, il mieux vaut privilégier une taille plus grande pour éviter que le mors ne blesse les commissures des lèvres du cheval. Les sites d’équitation permettent d’accéder à un large choix de mors de toutes les tailles qui sont adaptés au comportement et à l’attitude du cheval et à la main du cavalier. Il ne faut pas hésiter à demander des précisions en ligne si le choix d’un mors pour votre cheval vous pose des problèmes.

À chaque cheval son mors

Si vous devez choisir un mors pour un jeune cheval, il est important de privilégier un mors doux conçu dans un matériau agréable au contact de la bouche et adapté à la sensibilité du cheval, à la finesse de la peau en optant pour un mors autre que du métal : les mors en caoutchouc et les mors en résine constituent un bon choix. Pour les chevaux un peu chauds qui se montrent difficile à contrôler, le cavalier peut utiliser un mors Pelham avec gourmette. Comme ce mors est dur, il est conseillé de choisir un modèle recouvert de résine ou de caoutchouc. Si un cheval a besoin d’être redressé, un mors cuivre double brisure à rouleaux va favoriser la salivation et va contribuer à décontracter le cheval. Il existe une multitude de mors chevaux et il est important de choisir celui qui correspond au comportement et à l’attitude du cheval. Commander en ligne permet de se faire une bonne idée de tous les mors existants et de choisir un bon mors de qualité. Choisir un mors cheval en ligne permet de trouver l’équipement qu’il faut en toute tranquillité et confortablement installé chez soi.

Acheter un mors de qualité

Quand on veut acheter un mors cheval, il est conseillé de privilégier un site qui référence un large choix de mors. En effet, les mors chevaux sont très nombreux, à aiguille, olive, chantilly, à gourmette, en métal, en cuivre, en inox en résine ou caoutchouc, etc. Il existe aussi des mors chevaux spécial poney qui sont de taille plus petite que pour les autres chevaux. Mors releveur, Mors abaisseur, mors de dressage, mors western, chaque discipline équestre a recours à des mors spécifiquement étudiés pour contrôler la vitesse, la direction ou l’attitude du cheval. Les sites d’équitation en ligne permettent de profiter de bonnes affaires, déstockage, promotions et de s’offrir plusieurs mors à un prix discount. Changer de mors peut permettre de résoudre un problème ou de vivre d’autres sensations.

Pour tisser une parfaite communion entre vous et un cheval, le choix des matériels d’équitation doit se faire avec soin. Vous pouvez tirer du plaisir de cette activité sportive en ayant les meilleurs équipements. (suite…)

La gale de boue est un problème de la peau fréquent chez le cheval pendant la saison humide, c’est-à-dire l’hiver et l’automne. Elle attaque les membres de l’animal et essentiellement les parties avec une peau plus fine comme le pli du paturon. Parfois, le traitement gale de boue repose sur un bon nettoyage.

Quels sont les symptômes de la gale de boue ?

La gale de boue n’épargne aucun cheval, quel que soit son âge, sa race et son mode de vie. Seulement, cette infection apparaît le plus souvent en hiver et en automne et touche les membres à la peau fine du cheval. Vous remarquerez des crevasses, des croûtes épaisses ou même des ulcérations au niveau du pli du paturon. La gale de boue est une infection cutanée favorisée par l’humidité ambiante, les douches sans séchages, la boue, l’urine, les litières souillées, le sable et les abrasions. La peau étant très fine au niveau du paturon, elle est très sensible à tous types d’agressions. D’où la formation de l’infection. La gale de peau commence par de simples irritations au creux du paturon et au niveau des talons. Ensuite, la peau devient encore plus sensible et rouge. Des petites croûtes peuvent ensuite apparaître et se transforment en crevasses purulentes et suintantes. Si la situation n’est pas encore prise en main, elle peut dégénérer en septicémie ou lymphangites. À ce stade, le traitement gale de boue doit passer par des antibiotiques. Mais, vous pouvez éviter cela en soignant votre cheval dès l’apparition des premiers symptômes.

Comment soigner une gale de boue ?

Vous devez nettoyer et bien sécher la zone infectée du moment où vous remarquez des irritations ou des petites croûtes se former. Lavez doucement à l’eau tiède la partie touchée pour éliminer les agents responsables de l’infection comme les poussières, les traces d’urine ou le sable. Ne détachez jamais les croûtes dures, car les parties ramollies partent d’elles-mêmes. Séchez la zone avec un linge sec, doux et propre. Puis, appliquez un produit apaisant. Cela permet de protéger la peau et d’accélérer la restauration. Lorsque l’infection est avancée, le traitement gale de boue doit passer par une désinfection. Nettoyez la zone touchée avec un savon antiseptique et rincez avec de l’eau claire pour éliminer les corps étrangers. Les crevasses vont mettre du temps à cicatriser à cause du pli et des mouvements du cheval qui tendent à en écarter les bords. Après chaque nettoyage, appliquez une épaisse couche de pommade cicatrisante sur la plaie.

Comment prévenir les gales de boue ?

Le mieux est toujours de prévenir une telle infection pour le bien-être de votre animal. Évitez au maximum le contact avec les agents pathogènes. Nettoyez systématiquement la litière, le râtelier et l’abreuvoir de votre animal. Tondez régulièrement les fanons pour éviter l’accumulation des agents sur la peau. Éliminez les poussières, le sable et l’humidité avant d’équiper les membres d’une protection. Appliquez une pommade ou un lait hydratant pour protéger la peau des infections.

Le cheval est un animal comme tout autre animal qui a besoin qu’on le touche, le caresse, l’on lui donne de l’affection. C’est un être intelligent, c’est pour cela qu’un cavalier apprend à l’écouter, il respecte un cheval et le cheval lui respecte aussi, il pense à son cheval avant de penser à lui. Cet animal a besoin de beaucoup d’espaces pour bouger, besoin de compagnie, besoin d’accès d’eau. Il faut clôturer le pré pour qu’il soit en sécurité et aussi vérifier s’il ne va pas bien. Alors pourquoi faut-il vermifuger un cheval ? Quand et comment vermifuger un cheval ?

Pourquoi faut-il vermifuger un cheval ?

Pour avoir un cheval sain, en bonne santé, il faut que son propriétaire le vermifuge. Qu’est-ce que le vermifuge ? C’est une molécule qui repousse dans l’organisme de votre cheval. Avant de vermifuger un cheval, il faut bien vérifier s’il possède naturellement des vers dans son organisme parce que les vers se développent rapidement. Les vers vont provoquer des coliques, mais surtout s’attaquer au système digestif et immunitaire, et ça entraîne une diminution d’appétit, des anémies, des diarrhées, des constipations. Les signes d’un cheval parasité sont discrets, mais dans le cas grave, il est maigre, lymphatique, a le poil piqué, et a un gros ventre. Dans ces cas, si on ne vermifuge pas le cheval, il va y avoir plusieurs problèmes.

Comment vermifuger son cheval ?

Il existe deux manières pour vermifuger son cheval. Pour la manière chimique, il faut chercher un vétérinaire pour vous donner une ordonnance. Vous allez en pharmacie après pour en acheter. Il existe plusieurs médicaments. Pour la manière naturelle, pour vermifuger dans le calme, vous prenez une seringue avec quelque chose de sucré à l’intérieur, par exemple, vous mettez de la confiture. Vous frottez tout d’abord un petit peu de confiture sur sa bouche, il commence à sentir le goût agréable dans sa bouche et il va chercher ensuite ce goût. Après, il faut donner une seringue de vermifuge en glissant la seringue au fond de la mâchoire inférieure et fait entrer doucement le mélange de médicament et de confiture.

À quel moment vermifuger son cheval ?

À chaque changement de saison, vous pouvez vermifuger votre cheval. Il va y avoir soit en traitement, soit en prévention. S’il s’agit d’un traitement, c’est uniquement quand le cheval est infesté. Et pour ça, il est possible de voir le crottin de votre cheval, ou chez le vétérinaire en faisant une analyse de crottin en laboratoire. Il est nécessaire de faire le traitement lorsque le résultat de l’analyse a révélé qu’il y avait plus de 200 œufs parasitaires par gramme. Mais il est également possible de voir des verres sortir de l’anus. S’il s’agit d’une prévention, c’est le cas de tous les propriétaires, vous le faites 4 fois par an, à chaque changement de saison. Pour choisir son vermifuge, il faut avant tout sélectionner la molécule concernée, il va falloir chercher quel type de vers est présent lors de la saison pour laquelle vous allez traiter votre cheval.

Malgré leur grande taille, les chevaux sont des animaux sensibles et il faut bien s’en occuper. Leur hydratation est un aspect important de leur entretien, ils doivent boire de l’eau en quantité et en qualité. Les seaux et auges sont les matériels les plus utilisés pour leur offrir de quoi étanché leur soif.

Utilité des seaux et auges

La plupart des propriétaires de chevaux n’ont pas de ruisseau clair et frais auquel les chevaux peuvent avoir accès pour l’eau, donc fournir suffisamment d’eau potable peut être une tâche majeure. Les chevaux doivent avoir accès à de l’eau fraîche et propre à tout moment. L’eau insuffisante ou imbuvable contribue à la déshydratation et aux maladies, telles que les coliques d’impaction. C’est là qu’interviennent les seaux et auges, ces équipements permettent d’offrir aux chevaux une eau potable et propre pour étancher leur soif tout en évitant qu’ils attrapent des maladies.

Que dois-je rechercher dans un abreuvoir pour chevaux ?

La fiabilité, la durabilité, l’aspect pratique et la facilité d’utilisation sont les principaux facteurs à prendre en compte pour déterminer comment vous allez vous assurer que vos chevaux ont toujours un approvisionnement abondant en eau propre, fraîche et potable. Bien que les seaux et auges remplis, vidangés et nettoyés à la main répondent aux besoins de nombreux propriétaires de chevaux, d’autres abreuvoirs peuvent réduire le travail et être plus efficaces pour répondre aux besoins en eau de votre cheval. Dans les cas où les chevaux sont dans des stalles pendant une partie de la journée et à l’extérieur à d’autres moments, des abreuvoirs doivent être fournis aux deux endroits. Les caractéristiques de conception de nombreux abreuvoirs répondent à divers critères. Il en existe qui sont entièrement automatique avec isolation qui minimise la consommation d’électricité par temps froid et chaud. Des modèles avec eau libre naturelle ou écoulement d’eau auto-activée ; avec de l’eau au bon goût, exempte d’algues et d’autres contaminants. Certains sont spécialement adaptés aux chevaux et n’ont besoin que de peu d’entretien. Certains modèles offrent une protection contre les risques de choc électrique ; empêche l’invasion d’œufs ou de larves de moustiques. Selon les recherches effectuées par les vétérinaires, les bureaux de vulgarisation des comtés, les programmes universitaires pour les animaux et d’autres centres de recherche, bon nombre des meilleurs choix ont plusieurs éléments, clé en commun.

Comment installer les auges ?

Placez votre auge de manière à ce qu’elle reçoive autant de soleil que possible. De nombreuses régions du nord peuvent ne pas avoir beaucoup de soleil l’hiver, mais le fait de placer le réservoir dans une zone orientée au sud augmentera les chances d’avoir autant de soleil que possible pendant les heures de clarté. Vérifiez également si une zone ombrée est une bonne idée. Bien qu’un peu d’ombre, par exemple le surplomb d’un bâtiment, puisse offrir une certaine protection contre le froid pendant la nuit, cela signifie probablement moins d’expositions au soleil pendant la journée. Si vous habitez dans une zone où l’auge gèlera, que ce soit sous une sorte d’ombre ou non, je la placerais là où elle recevra le plus de lumière du jour.

L’utilisation mesure à grains s’est faite surtout durant l’Ancien Régime pour tout ce qui a trait à la détermination du volume ou du poids de matières sèches. Bien que son utilisation a été très largement répandue de par le passé, cela n’empêche pas que la mesure à grains soit toujours d’actualité. Vous découvrirez au cours de cet article cet outil qui a passé l’épreuve des âges.

Présentation de la mesure à grains

La mesure à grains se présente comme l’un des deux types de mesure de l’Ancien Régime. Si elle a pour but de mesure la capacité (volume ou poids) des matières sèches, l’autre type de mesure concerne la capacité des liquides. L’utilisation mesure à grains se décline également sous deux aspects. Le premier concerne la distribution : la mesure à grains permettait de déterminer une certaine quantité et une ouverture offrait la distribution, jusqu’à épuisement du stock. Ce premier type se présente comme un élément massif fixé à une certaine place pour faciliter la distribution. La seconde forme de mesure touche les mesures utilisées en tant qu’unité. Plus petits et plus maniable, cette deuxième forme de la mesure permet de remplir un plus grand dispositif de stockage en comptant les unités de mesure (boisseau, litron, etc.).

Comment s’utilisent les mesures à grains ?

L’utilisation mesure à grains dépend du type de mesure auquel on a à faire face. La mesure utilisée pour la distribution était tout d’abord alimentée via un grand orifice à son sommet. Le grain se trouvait alors entreposé dans le compartiment en cône inversé de la mesure. Une petite ouverture se trouve au fond du compartiment, c’est elle qui permet de distribuer le grain. Les mesures utilisées en tant qu’unité sont remplies comme des seaux. Une fois pleine, la mesure constitue une unité de cette mesure. Il existe cependant deux moyens pour remplir une mesure : soit à ras, soit à comble. À ras, la quantité qui dépasse l’ouverture supérieure de la mesure est enlevée pour obtenir une surface plane. À comble, toute quantité de grains qui reste dans la mesure est considérée comme une unité de la mesure, on accepte ainsi l’apparence d’un cône de grains au-dessus de la limite du contenant.

Bien que disposant d’un système assez complet, la mesure à grains a toutefois été abandonnée. À titre informatif, on a le muid équivalent à 12 setiers ou 48 minots. Un minot contient 3 à 5 boisseaux, le boisseau équivaut à 16 litrons et un litron est égal à environ 0,8 litre. Le problème concernait surtout ces imprécisions entre mesures, et surtout le changement de capacité d’une mesure, d’un territoire à un autre, pouvant varier du simple au double.

Utilisation contemporaine des mesures à grains

Avec l’émergence des unités de mesure internationales, les mesures à grains ont perdu leurs places. Toutefois, l’utilisation mesure à grains est toujours assez courante dans la pratique, quand il s’agit de quantifier une valeur familière (nutrition animale, pratique domestique). Par ailleurs, les anciennes mesures à graines sont très décoratives et ont trouvé une toute nouvelle vocation dans les halls des collectionneurs, ainsi que dans la décoration d’un mariage champêtre.

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